Togo : qui a tué l'ancien président Sylvanus Olympio ? | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

Il y a 50 cinquante ans le premier president de la jeune république du Togo, Sylvanus Olympio a été assassiné lors d'un putsch conduit par des anciens militaires de l'armée coloniale française. Cinquante ans plus tard, son assassin est toujours inconnu.....





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Transferts d’argent au Sénégal Guerre ouverte entre Wari et Western Union

(DAKAR, 28 janvier 2013) - Au Sénégal, les deux principaux services de transfert d’argent les plus utilisés sont Wari et Western Union. Telle est la conclusion de l’évaluation de la qualité des services de transfert d’argent au Sénégal, réalisée par le cabinet Afrique Communication en décembre 2012.

L’étude a confirmé que les Sénégalais, pris dans leur ensemble ou regroupés dans les différentes localités, sont des utilisateurs assidus des services de transfert d’argent. Elle montre que le cash à cash est le moyen de transfert le plus utilisé par ceux qui envoient ou reçoivent de l’argent, avec un taux de citation de plus de 95%. Le cash à cash est suivi du transfert mobile qui est en train de se frayer un chemin parmi les moyens de transfert d’argent.

Les services de transfert d’argent les plus connus et les plus utilisés sont Wari et Western Union. avec, en troisième position, Moneygram. En ce qui concerne la publicité, la campagne de Western Union a été la plus vue et la plus entendue par les consommateurs. Suivent les campagnes de communication de Wari et d’Orange Money. Le faible usage de certains services de transfert d’argent s’explique en grande partie par un déficit d’information sur leur produit.

30% des sommes reçues via les services de transfert d’argent proviennent de frères ou sœurs des bénéficiaires, 20% de leur père ou mère et 14% de leur époux ou épouse. Au-delà du cercle familial, le transfert d’argent est aussi pratiqué dans le milieu professionnel avec l’envoi d’argent par des collègues ou clients.

Outre des envois d’argent de l’intérieur du Sénégal, on observe des transferts importants provenant de la France, de l’Italie, de l’Espagne et des Etats-Unis. En Afrique, des pays tels que le Gabon, le Mali et le Maroc constituent aussi une source appréciable d’envoi d’argent.

L’enquête sur l’évaluation de la qualité des services de transfert d’argent a été réalisée par des équipes du cabinet Afrique Communication qui ont sillonné les localités de Dakar, Thiès, Saint-Louis, Louga, Matam, Touba, Kaolack et Mbour.

Afrique Communication est une agence de communication basée à Dakar, au Sénégal. Elle est spécialisée dans la réalisation d’études et de sondages (baromètre, panel de consommateurs, enquête de satisfaction) et l’élaboration de stratégies et plans de communication.

CONTATCT:

Alain  Just Coly / Email:  aljust@gmail.com

Afrique Communication

Les poètes Togolais se donnent rendez-vous le 21 mars prochain pour honorer la mémoire d’Aimé Césaire.

Le compte à rebours de la célébration du 14^ème Journée Mondiale de la Poésie a démarré vendredi dernier. C’est dans une ambiance bon enfant que les activés marquant le 14^èmeJournée Mondiale de la Poésie ont été officiellement lancées. Le Centre Culturel Allemand Goethe Institut a à cet effet prêté son cadre aux membres du CENACLE, au ministre des Arts et de la Culture, M. Fiatuwo Kwadjo Sessenou, aux amoureux des lettres et particulièrement de la poésie de procéder au lancement de cette 14è célébration au plan mondial et 5^ème au plan national.

Placée sous le sous le thème « l’écrivain et les droits de l’Homme », cette 5^ème célébration va rendre un vibrant Hommage au célèbre poète martiniquais Aimé Césaire. Selon les organisateurs de cette journée, le choix de ce thème se motive par le souci permanent du Cénacle de contribuer à la promotion humaine à travers les écrits dont le contenu permettra aux populations de connaître leurs droits afin de les défendre. « Le Cénacle voudrait à travers ce thème, attirer l’attention des écrivains sur l’importance du rôle qu’ils doivent ou peuvent jouer dans les efforts de défense, de protection et de promotion des droits humains au Togo » a laissé entendre son président M. Vondoly Kodjo Adzéwoda dans son discours de circonstance.

Pour le ministre des Arts et de la Culture, cette journée mondiale de la poésie permettra de rassembler les poètes de tous les horizons tant nationaux qu’internationaux autour de l’amour des lettres et permettra également au Togo de déceler les talents en la matière afin de permettre au gouvernement de les accompagner et de les appuyer.

Comme de coutume, plusieurs activités sont inscrites au programme de cette manifestation, qui démarre 21 mars prochain, journée apothéose de cet événement. Il sera marqué par des séances d’atelier d’écriture de poème, des tournées de sensibilisations et de mobilisation dans les établissements scolaires et dans des universités publiques et privées. Le Cénacle offrira également des ouvrages littéraires au Lycée de Tokoin, ouvrages qui seront composés de recueils de poèmes d’auteurs togolais et étrangers afin d’encourager la lecture, l’écriture et l’enseignement de la poésie dans les centres d’enseignement, a précisé M. Mawussé HEKA, le chargé de programme du Cénacle. Un concours de poésie, suivi de récompense des lauréats, une veillée poétique et une journée de réflexion vont aussi meubler cette journée qui sera sanctionnée par des déclamations de poèmes d’auteurs togolais.

Il faut noter que cette 5^ème édition a pour invité d’honneur Robert Dussey, écrivain et conseiller diplomatique du Président de la République togolaise, qui vient succéder à M. Edem Kodjo, invité d’honneur de la 4^ème édition.

Emmanuel Vitus AGBENONWOSSI

Robert Dussey                                                                        

                                                                                                                           

Vue partielle de l’assistance,

            au devant, rang des personnalités présentes
                                                        

Nous sommes les néandertaliens de l’Age du numérique.

L’Afrique m’a choisit pour marqué positivement une partie de son  l’histoire

L’hors d’ un de ses voyages en Europe, j’ ai rencontré l’ artiste numérique  Bénino-Togolais à Amsterdam aux Pays-Bas, dans les parvis de son hôtel. Né la même année que l’art numérique, il   passe le plus clair de son temps  dans la passion de l’informatique.                                                                                                    D'impressionnante stature, l’artiste pluridimensionnel, qu’est Giovani Haroldo de SOUZA alias ROLHDHO, s’attèle en se moment a donner un sens à l'art numerique en afrique, puisque faisant partit des premiers peintres numerique né de cette nouvelle ère.  ROLHDHO, du haut de sa trentaine fait de la peinture numérique son passe-temps favori et une tribune pour atteindre la société.  L’autre trait de caractère de Rolhdho, c’est sa conscience transnationale. Né à Cotonou et ayant limé sa bosse entre Paris, Abidjan et Accra, menant sa carrière de graphiste et de technicien de communication visuelle entre le Bénin et le Togo, il a cette vue perçante et pertinente sur les problèmes de l’Afrique contemporaine qui le rend profondément panafricaniste

- Bonjour Rolhdho, comment allez-vous ?

Bonjour, je vais  bien. Merci.

- Merci d’accorder cet interview à notre blog

- c’est moi qui vous remercie, 

-Dites, vous êtes artiste pluridimensionnel, quels sont vos domaines d’actions ?

- je suis consultant en communication visuelle, j’interviens mieux dans le domaine de l'image donc designer-graphiste mais aussi dans la réalisation  Audio visuel, direction artistique de projets et autres.

-On vous connait de part le monde  en Europe (France, Pays-Bas) à Montréal, surtout en Afrique au Ghana, au Bénin, en Côte d’Ivoire aussi au Togo  aujourd’hui comme un peintre numérique. Dites nous ROLHDHO, c est quoi exactement l'art numérique?

- Par définition, l'art numérique désigne un ensemble varié 

de catégories de création utilisant les spécificités du langage numérique. Il s'est développé comme genre artistique depuis le début des années 1980. Portée par la puissance de calcul de l'ordinateur et le développement d'interfaces électroniques autorisant une interaction entre le sujet humain, le programme et le résultat de cette rencontre, la création numérique s'est considérablement développée en déclinant des catégories artistiques déjà bien identifiées. J’ai choisis la peinture et  je complèterais pour la peinture numérique : une fusion  intelligente entre l'inspiration et l’ordinateur, des pensées philosophiques traduites en langage binaire. Le passage d'un monde virtuel dans un monde réel…

-Quel intêret portez- vous á cet  art?

- Le plus grand intérêt vu sa portée dans l’histoire de l’humanité. Nous sommes les néandertaliens de l’Age du numérique. Imaginons un instant ce que cela peut représenter, en matière de recherche,  pour les humains des siècles à venir dans un monde où l’information ne se perd plus. 

- pourquoi la peinture numérique et pourquoi avez vous choisi l'Afrique?

- La peinture pour témoigner de mon temps, numérique c’est l’évolution logique.  L’Afrique m’a choisit pour marqué positivement une partie de son  l’histoire. Quand on constate que le continent va en devenir,  que les esprits s’ouvrent vers une vision du lendemain et les efforts qui sont fournis même si c’est au compte goutte, on peut discerner que le présent rejoint le futur. Le choix est bien visible. 

- quels sont les themes que vous traiter et quel message voulez-vous faire passer par ce canal?

- Les thèmes que je traite, pour la plupart du temps, sont la vie en elle-même et de ses vertus qu’on oublie souvent, je recherche des facettes inconnues, mal perçues ou  même involontairement ignorer. le message est simple : recherchons la Sagesse, car seule la sagesse peut chasser la folie de ce monde. Mais ce n’est pas le seul message il y en a  d’autres mais je pense que le plus important pour le moment c’est celui là.

- Comment  est- ce que vos peintures sont perçus  par le public africain?

- Le public africain est très réceptif même si certaines personnes pensent que cet art est venu annoncer la fin de l’art « traditionnel ». Je tiens a toujours précisé que l’art reste une question de gout et à pour objet de marquer une époque, un temps ou un moment. Rien ne se perd, rien ne se créer tout se transforme que ce soit par les uns ou par les autres. De nos jours, Le public africain apprend à apprécier la valeur des choses, mes œuvres qui était considérer comme trop futuriste il ya quelques années, sont maintenant reconnu comme étant dans l’ère du temps même si elles restent avant-gardistes.

-Avez-vous rencontré d’obstacles ?

-oui bien sur et je continue d’ailleurs. Mais je garde en tête qu’un parcours sans obstacle n’existe pas et c’est comme un livre sans histoire ou une vie sans repère.

- Depuis quand avez vous commencez?

- J’ai commencé il y a un peu plus de 10 ans. Mais j’ai réellement pris le pas quand j’ai été contacté  par Mr Hervé Fisher,  fondateur de l’observatoire international du Numérique à Montréal qui ma soutenu et continue de le faire.

 votre but est il atteind?

- Disons que l’odyssée suit son cours…

-Vos projets ?

Exposer dans les grandes villes du monde.

-Un conseil aux jeunes qui voudront suivre votre voie.

Faut savoir prendre des risques, ne jamais arrêter d’apprendre et toujours rechercher le meilleur du mieux…

-Un message aux lecteurs et à vos fans.

-Tant qu’on vit, il ya de l’amour et tant qu’il y a l’amour il y a de la joie. Profitons intensément de chaque moment que la vie nous offre avec le sourire ! resté connecté (rires)

(rolhdho@gmail.com /Facebook: rolhdho 

                                                                                                                               Propos receulli par Francine Komla

                                                                                                                                     francinekomla@yahoo.fr

Quelque desespérante que soit la situation cela peut encore changer au mieux.

Le Viol, Notre Conscience nous Interpelle

Le viol…, un  acte  sexuel  imposé  par une  contrainte physique ou psychologique.                                                      Se distinguant des autres agressions sexuelles  par la pénétration sexuelle   de quelque nature qu’elle  soit  :  vaginale (coït), anale (sodomie) ou orale (fellation), ou par la main ou des objets.                                                                                                                                                             La victime étant  soit une femme, soit un homme, soit un enfant (fille ou garçon), qu’ elle soit connue ou inconnue de l’agresseur, ce dernier peut être extérieur à la famille  ou en être membre (quand il s’ agit de l’ inceste). Le violence, la contrainte, les menaces  ou la surprise  désignent les moyens employés par le ou  les agresseurs (viol collectif)) pour imposer sa ou leur volonté, au mépris,  refus,  ou  l’âge de la victime.

Le viol est devenu courant de nos jours, un phénomène de société dont l’ ampleur devient de plus en plus considérable. On en distingue parmi tant d autres :

-          Le viol de guerre: Alors que dans l’ immense majorité des armées, il est totalement interdit par le règlement,   le viol est pourtant ``utilisé`` comme un arme de combat  en temps de guerre, comme  un moyen d'humilier le vaincu ou de provoquer un adversaire lorsque le conflit est latent.  Lors de la Seconde Guerre mondiale, des militaires Soviétiques, Allemands, Japonais ou Américains se livrèrent au viol. Le cas de l'armée impériale japonaise utilisant de 20 000 à 200 000 femmes de réconfort enlevées est un cas extrême dans lequel le commandement lui-même a organisé le viol.

En Republique Démocratique du Congo, le viol reste une arme de guerre. Bien qu’il soit connu et dénoncé, le fléau des violences sexuelles reste omniprésent dans l’est de la République démocratique du Congo comme dans d’autres zones de conflit.

 Si  Certains films l'évoquent comme thème principal et dénoncent ses conséquences notamment “Les Accusés”, “Thelma et Louise”, “Les Oubliées de Juarez”, “Baise moi” ou “Irréversible”… ,le viol au cinema est aussi souvent  pésenté    comme un sujet

 d’excitation, une sorte de ``sel ou épice   pour relever le goût``. Un crime ne doit pas resté impuni même dans les films. Attention à ce que nous regardons, ce que nous entendons car cela pourrait nous influencer et surtout les plus jeunes. Bien que ceci soit une mise en scène, il n’est  moins  grave que le viol dans la réalité.

L’ inceste, le  plus frequent des viols, pourtant le moins évoqué. Dans la société contemporaine les avortements commis par les jeunes filles sont monnaie courante, des fugues d’ adolescents et des suicides de jeunes puberts qui se multiplient; avions nous jamais cherché à connaître  les causes réelles,  profondes et cachées de ces désastres?

 L’ inceste  n’est peut être pas la seule raison, mais en fait  bien parti. Le plus souvent les victimes se taisent, ou ne sont pas écoutées; elles vivent leurs supplices toutes leurs vies. Toutes ces enfances et jeunesses brisées….   Là encore notre conscience nous interpelle.

                                                                                                                                                                                       Bien que cela peut paraitre absurde, le viol conjugal existe aussi on en trouve dans toutes les couches sociales et raciales; le conjoint, l’ami, ou le fiancé ou bref l’être aimé qui humilie sa compagne.  Le consentement s'impose donc toujours, même au sein du couple, le consentement à la sexualité doit être exprimé,ou le refus respecté; être marié ne signifie pas avoir le pouvoir de disposer du corps de l’ autre, ne pas tenir compte de son désir ou de son refus.(le désir doit être réciproque et la jouissance partagée). Et pourtant cela arrive tous les jours quelque part dans le secret d’ un foyer…

Et il n y a pas que le viol de guerre ,au cinema,au foyer ou l’ inceste, quelque part à chaque minute une fille ou une femme se fait violée sans ``raison`` par un ou des délinquants,le viol…,violence sociale.                                                                                                                         

Pour ne citer que ceux-la, le phénomène de viol nous interpelle tous.

      Que devons - nous faire?

Dans la majorité des cas la femme est la principale victime, cette dernière, qui pourrait être la soeur ,la mère, ou encore l’ épouse,  d’un homme qui par ailleurs se constitue l’ auteur de ces agressions; ce crime du siècle, nous interpelle tous.

J’interpelle les frères, les pères, les maris, les fils à revoir la place que la femme occupe dans le monde, à tenir compte des conséquences des ces violences sur elles et sur le reste du monde  pour prendre conscience que la violence sexuelle sur la femme n’ est pas seulement un crime contre ces dernières ni contre  une communauté mais que cela rejaillit  sur toute     l’humanité et, à voir de loin, les hommes qui se font leurs agresseurs en sont aussi les principales victimes puisque la jeune fille  violée aujourd’ hui sera l’épouse, ou mère  demain.

HOMMES…, REVEILLEZ-VOUS!!!                                                                                  

Aux femmes: quelque soit son âge ou sa position sociale, la femme est une éducatrice .      Eduquer une petite fille aujourd’hui, lui apprendre les bonnes moeurs que certaines personnes peuvent considerer archahiques, c’est éduquer toute une communauté de demain… une nation entière. Eduquons bien nos filles à respecter leurs corps en s’ habillant d’une manière descente; une fille de moins de 16ans qui se maquille s’affiche et s’ expose à la violence et bien d’autres   chose       encore….                                                                                                       

Que disons nous donc de la vertue… un mot, une conduite???