L’Afrique m’a choisit pour marqué positivement une partie de son l’histoire
L’hors
d’ un de ses voyages en Europe, j’ ai rencontré l’ artiste numérique Bénino-Togolais à Amsterdam aux
Pays-Bas, dans les parvis de son hôtel. Né la même année que l’art numérique,
il passe le plus clair de son temps dans la passion de l’informatique.
D'impressionnante
stature, l’artiste pluridimensionnel, qu’est Giovani
Haroldo de SOUZA alias ROLHDHO, s’attèle en se moment a donner un sens à l'art
numerique en afrique, puisque faisant partit des premiers peintres numerique né
de cette nouvelle ère. ROLHDHO, du haut
de sa trentaine fait de la peinture numérique son passe-temps favori et une
tribune pour atteindre la société.
L’autre trait de caractère de Rolhdho, c’est sa conscience
transnationale. Né à Cotonou et ayant limé sa bosse entre Paris, Abidjan et
Accra, menant sa carrière de graphiste et de technicien de communication
visuelle entre le Bénin et le Togo, il a cette vue perçante et pertinente sur
les problèmes de l’Afrique contemporaine qui le rend profondément
panafricaniste
- Bonjour Rolhdho, comment
allez-vous ?
Bonjour,
je vais bien. Merci.
- Merci d’accorder cet interview à notre blog
- c’est moi qui vous remercie,
-Dites, vous êtes artiste pluridimensionnel,
quels sont vos domaines d’actions ?
- je suis consultant en
communication visuelle, j’interviens mieux dans le domaine de l'image donc
designer-graphiste mais aussi dans la réalisation Audio visuel, direction artistique de projets
et autres.
-On vous connait de part le monde en Europe (France, Pays-Bas) à Montréal, surtout
en Afrique au Ghana, au Bénin, en Côte d’Ivoire aussi au Togo aujourd’hui comme un peintre numérique. Dites
nous ROLHDHO, c est quoi exactement l'art numérique?
- Par définition, l'art numérique désigne un ensemble
varié
de catégories de création utilisant les spécificités du langage
numérique. Il s'est développé comme genre artistique depuis le début des années
1980. Portée par la puissance de calcul de l'ordinateur et le développement
d'interfaces électroniques autorisant une interaction entre le sujet humain, le
programme et le résultat de cette rencontre, la création numérique s'est
considérablement développée en déclinant des catégories artistiques déjà bien identifiées.
J’ai choisis la peinture et je
complèterais pour la peinture numérique : une fusion intelligente entre l'inspiration et
l’ordinateur, des pensées philosophiques traduites en langage binaire. Le
passage d'un monde virtuel dans un monde réel…
-Quel intêret portez- vous á cet art?
- Le
plus grand intérêt vu sa portée dans l’histoire de l’humanité. Nous sommes les
néandertaliens de l’Age du numérique. Imaginons un instant ce que cela peut
représenter, en matière de recherche,
pour les humains des siècles à venir dans un monde où l’information ne
se perd plus.
- pourquoi la peinture numérique et
pourquoi avez vous choisi l'Afrique?
- La
peinture pour témoigner de mon temps, numérique c’est l’évolution logique. L’Afrique m’a choisit pour marqué
positivement une partie de son l’histoire.
Quand on constate que le continent va en devenir, que les esprits s’ouvrent vers une vision du
lendemain et les efforts qui sont fournis même si c’est au compte goutte, on
peut discerner que le présent rejoint le futur. Le choix est bien visible.
- quels sont les themes que vous
traiter et quel message voulez-vous faire passer par ce canal?
- Les
thèmes que je traite, pour la plupart du temps, sont la vie en elle-même et de
ses vertus qu’on oublie souvent, je recherche des facettes inconnues, mal perçues
ou même involontairement ignorer. le
message est simple : recherchons la Sagesse, car seule la sagesse peut chasser
la folie de ce monde. Mais ce n’est pas le seul message il y en a d’autres mais je pense que le plus important
pour le moment c’est celui là.
- Comment est- ce que vos peintures sont perçus par le public africain?
- Le
public africain est très réceptif même si certaines personnes pensent que cet
art est venu annoncer la fin de l’art « traditionnel ». Je tiens a toujours
précisé que l’art reste une question de gout et à pour objet de marquer une
époque, un temps ou un moment. Rien ne se perd, rien ne se créer tout se
transforme que ce soit par les uns ou par les autres. De nos jours, Le public
africain apprend à apprécier la valeur des choses, mes œuvres qui était
considérer comme trop futuriste il ya quelques années, sont maintenant reconnu
comme étant dans l’ère du temps même si elles restent avant-gardistes.
-Avez-vous rencontré d’obstacles ?
-oui bien sur et je continue d’ailleurs. Mais je garde en tête qu’un
parcours sans obstacle n’existe pas et c’est comme un livre sans histoire ou
une vie sans repère.
- Depuis quand avez vous commencez?
- J’ai
commencé il y a un peu plus de 10 ans. Mais j’ai réellement pris le pas quand
j’ai été contacté par Mr Hervé
Fisher, fondateur de l’observatoire
international du Numérique à Montréal qui ma soutenu et continue de le faire.
votre but est il atteind?
- Disons que l’odyssée suit son
cours…
-Vos projets ?
Exposer
dans les grandes villes du monde.
-Un conseil aux jeunes qui voudront
suivre votre voie.
Faut
savoir prendre des risques, ne jamais arrêter d’apprendre et toujours
rechercher le meilleur du mieux…
-Un message aux lecteurs et à vos fans.
-Tant
qu’on vit, il ya de l’amour et tant qu’il y a l’amour il y a de la joie.
Profitons intensément de chaque moment que la vie nous offre avec le
sourire ! resté connecté (rires)
(rolhdho@gmail.com /Facebook: rolhdho
Propos receulli par Francine Komla
francinekomla@yahoo.fr
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